Le CNRS et l’Université Grenoble Alpes signent une nouvelle convention de partenariat pour une politique scientifique partagée
Recherche, Partenariats
le 27 juin 2022
Le 24 juin 2022, Antoine Petit, président-directeur général du CNRS en déplacement sur Grenoble,
et Yassine Lakhnech, président de l’Université Grenoble Alpes signaient la nouvelle convention
partenariale. Cette convention engage pour une période de 6 ans les deux établissements à
conduire ensemble une politique scientifique commune au sein de 70 unités mixtes de recherche
ou d’appui partagées.
La convention fixe une politique scientifique partagée qui se décline au travers de 6 pôles de recherche thématiques :
« La recherche sur le site, et notamment dans les unités communes entre le CNRS et UGA, est au meilleur niveau mondial. Le CNRS et l’UGA partagent l’ambition de continuer à renforcer le rayonnement international du site et d’accroître son attractivité en partageant leurs priorités en matière de recherche, d’innovation, d’actions à l’international. L'UGA est, au quotidien, l’interlocuteur du CNRS, ce qui renforce un dialogue déjà constructif pour un fonctionnement efficace de nos unités. » Antoine Petit, président- directeur général du CNRS.
« Par sa recherche de rang mondial conduite en grande partie en partenariat étroit avec le CNRS, l’UGA a l’ambition de contribuer aux transformations majeures de la société et du monde. La recherche française a besoin de cohérence stratégique entre ses opérateurs, les organismes nationaux de recherche et les universités de recherche intensive. Tout le monde gagnerait à développer les synergies entre formation, recherche et innovation, que les universités sont à même de porter. Depuis sa création, l’UGA avec ses établissements-composantes Grenoble INP-UGA, Science Po-UGA et ENSAG-UGA, se déploie à cet effet. » Yassine Lakhnech, président de l’Université Grenoble Alpes.
La convention signée entre les deux établissements permettra une meilleure efficacité dans les interactions entre Université Grenoble Alpes et le CNRS et le développement de nouveaux champs de coopération ou l’amplification des coopérations existantes. Elle vise à l’amélioration de l’attractivité internationale du site au bénéfice de l’enseignement, de la recherche et de l’innovation dans les domaines où les deux établissements ont un intérêt commun, et à la création d’emplois sur le territoire. Elle œuvre aussi au bénéfice de la diffusion de la culture scientifique et technique.
Par cette convention, les signataires s’engagent à se concerter pour attribuer des ressources humaines et financières aux laboratoires du site grenoblois et à soutenir en priorité la stratégie scientifique du site. La convention mentionne également des objectifs de simplification administrative, de soutien à l’activité de recherche et à la mobilité des personnels, à l’accueil des doctorants et des doctorantes ou encore de développement à l’international. Elle fixe par ailleurs des règles de fonctionnement dans le domaine de l’information scientifique, du transfert technologique, de la propriété intellectuelle ou encore de la gestion des contrats de recherche.
Afin d’assurer le suivi du partenariat, tant sur le plan stratégique que sur le plan opérationnel, la convention prévoit la constitution d’un comité d’orientation et de suivi. L’activité contractuelle fera l’objet de bilans partagés réguliers. Le mandataire unique de valorisation ainsi que le gestionnaire des contrats sont définis dans cette convention suite à une négociation guidée par un objectif d’équilibre et de prise en compte des spécificités des unités partagées.
L’Université Grenoble Alpes et le CNRS s’engagent également à mettre en place des actions de sensibilisation et de formation pour accélérer l’évolution vers la parité et vers des carrières égales dans tous les métiers mais aussi en matière de déontologie et d'intégrité scientifique ou encore en faveur du développement accéléré de la Science Ouverte.
Enfin, la convention prévoit l’intégration des objectifs de développement durable dans les pratiques de la recherche et incitent les unités à réfléchir à l'impact environnemental de leurs activités, afin de contribuer à sa régulation
- Sciences Sociales
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- Physique, Ingénierie, Matériaux
« La recherche sur le site, et notamment dans les unités communes entre le CNRS et UGA, est au meilleur niveau mondial. Le CNRS et l’UGA partagent l’ambition de continuer à renforcer le rayonnement international du site et d’accroître son attractivité en partageant leurs priorités en matière de recherche, d’innovation, d’actions à l’international. L'UGA est, au quotidien, l’interlocuteur du CNRS, ce qui renforce un dialogue déjà constructif pour un fonctionnement efficace de nos unités. » Antoine Petit, président- directeur général du CNRS.
« Par sa recherche de rang mondial conduite en grande partie en partenariat étroit avec le CNRS, l’UGA a l’ambition de contribuer aux transformations majeures de la société et du monde. La recherche française a besoin de cohérence stratégique entre ses opérateurs, les organismes nationaux de recherche et les universités de recherche intensive. Tout le monde gagnerait à développer les synergies entre formation, recherche et innovation, que les universités sont à même de porter. Depuis sa création, l’UGA avec ses établissements-composantes Grenoble INP-UGA, Science Po-UGA et ENSAG-UGA, se déploie à cet effet. » Yassine Lakhnech, président de l’Université Grenoble Alpes.
La convention signée entre les deux établissements permettra une meilleure efficacité dans les interactions entre Université Grenoble Alpes et le CNRS et le développement de nouveaux champs de coopération ou l’amplification des coopérations existantes. Elle vise à l’amélioration de l’attractivité internationale du site au bénéfice de l’enseignement, de la recherche et de l’innovation dans les domaines où les deux établissements ont un intérêt commun, et à la création d’emplois sur le territoire. Elle œuvre aussi au bénéfice de la diffusion de la culture scientifique et technique.
Par cette convention, les signataires s’engagent à se concerter pour attribuer des ressources humaines et financières aux laboratoires du site grenoblois et à soutenir en priorité la stratégie scientifique du site. La convention mentionne également des objectifs de simplification administrative, de soutien à l’activité de recherche et à la mobilité des personnels, à l’accueil des doctorants et des doctorantes ou encore de développement à l’international. Elle fixe par ailleurs des règles de fonctionnement dans le domaine de l’information scientifique, du transfert technologique, de la propriété intellectuelle ou encore de la gestion des contrats de recherche.
Afin d’assurer le suivi du partenariat, tant sur le plan stratégique que sur le plan opérationnel, la convention prévoit la constitution d’un comité d’orientation et de suivi. L’activité contractuelle fera l’objet de bilans partagés réguliers. Le mandataire unique de valorisation ainsi que le gestionnaire des contrats sont définis dans cette convention suite à une négociation guidée par un objectif d’équilibre et de prise en compte des spécificités des unités partagées.
L’Université Grenoble Alpes et le CNRS s’engagent également à mettre en place des actions de sensibilisation et de formation pour accélérer l’évolution vers la parité et vers des carrières égales dans tous les métiers mais aussi en matière de déontologie et d'intégrité scientifique ou encore en faveur du développement accéléré de la Science Ouverte.
Enfin, la convention prévoit l’intégration des objectifs de développement durable dans les pratiques de la recherche et incitent les unités à réfléchir à l'impact environnemental de leurs activités, afin de contribuer à sa régulation
Publié le 27 juin 2022
Mis à jour le 27 juin 2022
Mis à jour le 27 juin 2022